En premier lieu, il y a de nombreux bienfaits économiques à faire travailler ces jeunes gens dans notre société. En effet, quoi de mieux que d’avoir un emploi pour apprendre la valeur de l’argent. Dans un monde comme le nôtre où la qualité de vie dépend de la gestion monétaire, il est primordial d’enseigner à la relève comment ça peut être difficile de gagner son argent et de l’utiliser à bon escient… C’est un passage important vers la maturité : rappelez-vous votre enfance où l’argent était jeté par les fenêtres pour toutes sortes d’absurdités, ces dépenses ont pris le clos lors de votre premier emploi n’est-ce pas? Ce fût le cas pour moi et plusieurs de mes connaissances avec qui j’ai discuté. De plus, une étude réalisée par une compagnie de léger marketing révèle que l’embauche d’étudiants entraine de massives retombées économiques dans les régions avoisinantes, 50 millions de dollars ont été investi au Québec seulement par ces adolescents. Vous en conviendrez, de telles retombées sont indéniablement positive pour l’État!

En second lieu, l’embauche d’étudiants favorise le développement personnel et agit comme une sorte d’initiation au marché du travail. En effet, l’association des enseignants secondaires affirme que les étudiants «travailleur» ont une autonomie supérieure et sont davantage responsables en classe. Sans parler de l’avantage crucial qu’a l’élève de pouvoir explorer le marché du travail. En travaillant dans divers domaines, il développe des aptitudes et découvre ses goûts pour ce qui est du travail (ce qui l’aide `coup sûr dans le choix de son futur métier). De plus, selon statistique canada : 50% des jeunes travailleurs ont trouvé une certaine motivation à continuer leurs études après avoir fréquenté le marché du travail. Non seulement l’emploie des lycéens entraine le développement personnel, on assiste à une prévention du décrochage scolaire pour la majorité! Le message semble clair, il faut à tout prix maintenir en place le droit aux étudiants de travailler!

Il y a de cela bien des années, les couples infertiles n’avaient aucune chance d’avoir des enfants sans avoir recours à l’adoption. Avec le développement de la science et de la médecine, on a mis au point des solutions à ce bien triste déficit : la procréation assisté. Dès ses débuts, la procréation assistée a été largement controversée. Principalement à cause du fait que ce soit plus ou moins naturel. De nos jours c’est surtout son financement qui soulève le débat. Est-ce au couple infertile ou à l’état de fournir le montant d’argent, du moins faramineux? Selon moi, ce devrait être l’état qui débourse pour ces opérations parce que l’infertilité est une maladie, parce que avoir un enfant c’est un droit selon la convention de Genève et joint à d’autre mesures permet de freiner le vieillissement de la population.

Le mouvement environnementaliste a fait son apparition dès 1902. Depuis ce jour et grâce aux découvertes scientifiques dans le domaine de l’environnement, il est en constante expansion. Je suis tout à fait en accord avec les valeurs de ce mouvement de penser et je suis convaincu qu’il a sa place dans la société. Malheureusement, certains extrémistes on tendance à dramatiser et mettre un excès de pression. Je partages l’avis de Madame Nadine Vachon à ce sujet : les changements brusques et de grande envergure feront décrocher la société. En effet, le changement demande préparation et surtout des fonds monétaires.

            Avez-vous déjà acheté une maison? Êtes-vous déjà parti en voyage? Voilà deux exemples bien concrets de changement dans la vie courante. Tous changements doivent être planifié et préparer pour se dérouler rondement, c’est le gros bon sens! Qui accepterait de parti pour une telle expédition sans être préparé? Selon moi,  c’est la même chose pour le «grand virage vert». Comment ces extrémistes pensent-ils réussir à nous convertir dans un avenir aussi rapproché? C’est pas du tout raisonnable de leur part. Je crois que c’est au bout de quelques années que les transitions s’effectueront. Laissez-nous un peu de temps très chers extrémistes, nous avons la volonté il nous faut juste un brin de temps!

            De plus, l’aspect financier est considérable mais pourtant négliger par les écologistes. De nos jours, une voiture verte coute dans les environs de trente-cinq milles dollars! Vous en conviendrez sans doute, c’est très cher et peu de gens ont les moyens d’effectuer de tels changements pour l’environnent.             Il y a un intérêt marqué pour les produits verts mais malheureusement ces nouvelles technologies ne sont pas encore abordables pour chacun de nous.

Pour conclure, l’intérêt pour l’assainissement de notre planète est présent et croissant. Malgré la pression que les écolos exercent sur la population aucun changement se fera sans préparation et sans subventions. Le sort de la terre est tout de même entre vos mains, gardez ça en tête.